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Jérôme-Adolphe Chicoyne, vous connaissez ?

La série de huit articles qui rend hommage à notre confrère et président sortant Denis Beaulieu, décédé soudainement le 12 juin dernier, commence par un article qu’il a écrit pour la revue L’Entraide généalogique en 2012, et qui introduit la biographie qu’il a écrite sur Jérôme-Adolphe Chicoyne, un des premiers maires de Sherbrooke.

Juste avant de mourir et au moment où nous planifiions le lancement de ce nouveau site, il nous avait accordé les droits de cette biographie pour les fins de L’Entraide numérique. Cette ‘’série du vendredi’’ débutera le 15 septembre.

Il est à noter que cet article lui a valu le Prix Raymond-Lambert du meilleur article de l’année en 2012.

Temps de lecture estimé – 12 minutes

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Lorsque je dis aux gens que je rédige la biographie de Jérôme-Adolphe Chicoyne, 99 % d’entre eux me répondent : Qui est Jérôme-Adolphe Chicoyne ? Pourtant, J.A. Chicoyne a vécu pratiquement toute sa carrière dans les Cantons-de-l’Est, entre 1875 et 1904. Laissez-moi vous tracer les grandes lignes de la vie de ce monsieur Chicoyne.

Jérôme-Adolphe Chicoyne, fils de Jérôme Chicoyne, cultivateur, et de Dorothée Deslandes dit Champigny, naquit à Saint-Pie, comté de Bagot, le 22 août 1844. À l’âge de trois ans, il quitta sa famille pour aller vivre avec sa marraine et son parrain, sa tante Josephte, la sœur de son père, et son oncle Joseph Charbonneau, qui habitaient Saint-Damase, près de Saint-Pie. C’est là qu’il passa sa tendre enfance et qu’il débuta ses études primaires. En 1853, son oncle Charbonneau qui commençait à vieillir, abandonna sa terre de Saint-Damase et s’en vint demeurer à Saint-Hyacinthe, sur la rue Girouard. Jérôme-Adolphe y finit ses études primaires et, en 1855, il entra au collège de Saint-Hyacinthe afin d’y débuter son cours classique. À la fin de sa première année au collège, Jérôme-Adolphe décida de quitter l’école, ainsi que sa famille, afin d’aller travailler aux États, dans l’espoir de « se mettre riche». Parti le 15 mars 1857, il se rendit au Connecticut, puis par la suite au Vermont, où il travailla et étudia l’anglais. En octobre 1859, il décida de revenir à Saint-Hyacinthe, aussi pauvre qu’à son départ, mais riche d’une expérience qui l’amena à prendre la ferme décision de reprendre son cours classique et de le terminer.

De retour au collège de Saint-Hyacinthe, il réussit toutes ses années du cours classique. En septembre 1864, au moment où il débuta sa première année de Philosophie, il choisit de s’orienter vers la profession d’avocat. Le 5 septembre 1864, il fut admis à l’étude de la loi devant le Bureau des Examinateurs, à Montréal, et le 8, il passa son brevet sous maître Papineau, à Saint-Hyacinthe. Pendant ses deux années de Philosophie au Collège, qu’il termina en 1866, il étudia aussi le droit, de même que durant les deux années suivantes. Ainsi, au mois de septembre 1868, J.A. Chicoyne fut admis au barreau et débuta sa carrière d’avocat à Saint-Hyacinthe.

J.A. Chicoyne, au début de sa carrière (Collection d’Andrée Benoît et de Richard Flibotte, Saint-Hyacinthe)

Le 7 janvier 1868, J.A. Chicoyne épousa, à la cathédrale de Saint-Hyacinthe, Marie-Rose-Caroline Perrault, fille unique de Joseph-Élie Perrault et de Sophronie Marcotte, tous trois de Saint-Hyacinthe. Au cours des cinq premières années de mariage, le couple Chicoyne eut cinq enfants. Toutefois, seulement un d’entre eux, Émélie, vécut jusqu’à l’âge adulte, les quatre autres décédèrent en bas âge. Plus tard, en 1881, un autre enfant naîtra à Sherbrooke, mais lui aussi décéda en bas âge.

En plus de sa profession d’avocat, J.A. Chicoyne s’intéressa, dès les années 1864-65, au journalisme et à la politique provinciale. Il devint sous-rédacteur au journal Le Courrier de Saint-Hyacinthe et rédigea un journal agricole avec son ami J.A. Bernier. C’est aussi au cours de ces mêmes années qu’il commença à participer activement aux campagnes électorales, défendant les couleurs du Parti conservateur.

En septembre 1868, J.A. Chicoyne fut élu secrétaire-trésorier de la Société de Colonisation de Saint-Hyacinthe qui avait obtenu une réserve de plus de 80 lots dans le canton d’Emberton, dans les Cantons-de-l’Est. Ces lots qui totalisaient 12 051 acres, étaient destinés aux colons qui voulaient venir les défricher et s’y installer. En juin 1870, en compagnie d’un groupe de représentants de la Société de colonisation, il fit l’exploration des lots qui leur étaient concédés et, le 31 décembre, il en fit rapport au ministère de l’Agriculture et des Travaux publics à Québec. C’est à ce moment qu’il visita la mine d’or de John Henry Pope, au bout du chemin qui traversait le canton Ditton, vers le canton d’Emberton. Il fut le premier à en parler dans son rapport d’exploration.

Puisqu’il s’intéressait vivement à la colonisation et que la profession d’avocat n’était pas très payante à ce moment-là, J.A. Chicoyne sollicita le poste d’agent d’immigration pour le gouvernement à Saint-Hyacinthe, de février 1872 à juin 1873, il devint agent d’immigration à Montréal. Au mois de novembre 1874, il demanda de revenir à Saint-Hyacinthe pour reprendre son ancien poste.

Le 23 février 1875, le gouvernement provincial adopta l’Acte de Rapatriement afin de favoriser le rapatriement des 400 000 Canadiens-français immigrés aux États-Unis. L’abbé Jean-Baptiste Chartier, curé de Coaticook, qui était l’agent de colonisation pour tous les Cantons-de-l’Est, avait participé activement à l’élaboration de cette loi et avait consulté J.A. Chicoyne. Tous deux venaient de Saint-Hyacinthe et s’étaient connus lors du voyage d’exploration que fit J.A. Chicoyne en 1870 ; l’abbé Chartier les accompagna à ce moment-là. Le 13 mars suivant, J.A. Chicoyne fut nommé agent de colonisation à Sherbrooke afin de s’occuper de l’application de la loi du rapatriement. Son bureau devait être situé principalement dans le canton de Ditton qui avait été choisi comme canton où seraient reçus les rapatriés. C’est ainsi qu’au début du mois d’avril 1875, J.A. Chicoyne arriva à Sherbrooke et entreprit sa carrière dans les Cantons-de-l’Est.

Très tôt par la suite, il vint s’installer au village qu’il nommera « La Patrie » et dès la première élection municipale de février 1876, J.A. Chicoyne fut choisi maire des Cantons unis de Ditton, Chesham et Clinton et le demeura jusqu’en 1879.

La Patrie en 1880 (Collection d’Andrée Benoît et de Richard Flibotte,
Saint-Hyacinthe)

Dès 1875, Mgr Antoine Racine, premier évêque de Sherbrooke, plaça la nouvelle mission de La Patrie sous le patronage de Saint-Pierre. Ainsi, J.A. Chicoyne fit les démarches pour faire venir le premier curé résidant, un de ses amis du collège de Saint-Hyacinthe, l’abbé Victor Chartier, le frère de l’abbé Jean-Baptiste Chartier. D’ailleurs, au mois de décembre, à l’arrivée de l’abbé Victor Chartier, celui-ci résida quelque temps avec la famille Chicoyne.

Au mois d’octobre 1876, après moins de deux ans d’opération, le gouvernement mit fin à l’Acte du Rapatriement. Tous les lots mis à la disposition des colons avaient trouvé preneur et le canton était presque complètement habité. J.A. Chicoyne quitta donc ses fonctions d’agent de colonisation. Pendant un an et demi, il s’intéressa à la gouverne et au développement du village de La Patrie, initiant plusieurs organismes et projets.

Au mois de mai 1879, J.A. Chicoyne déménagea à Sherbrooke afin d’y ouvrir un bureau d’avocat. C’est sur la rue Wellington, tout près du magasin Codère, qu’il loua des appartements dans lesquels il installa son bureau. Cependant le journalisme et la colonisation l’intéressaient davantage. Régulièrement, il soumit au journal Le Pionnier de Sherbrooke des articles portant principalement sur la colonisation des Cantons. De plus, il s’associa à la Société de Colonisation de Sherbrooke qui venait d’être fondée par Mgr Antoine Racine.

C’est à titre de représentant de cette société que J.A. Chicoyne entreprit, en 1880, une grande tournée européenne où il donna plusieurs conférences dans divers pays : en Angleterre, en Suisse, en Belgique, en Italie et en France, pour promouvoir la colonisation au Canada, dans la province de Québec et spécialement dans le canton de Woburn où la Société de Colonisation de Mgr Racine avait obtenu une réserve de lots. C’est en France, à Nantes, où finalement il trouva des investisseurs qui furent prêts à financer la Compagnie de Colonisation et de Crédit des Cantons de l’Est. Celle-ci avait un bureau à Nantes, en France, et son siège social à Sherbrooke.

C’est au cours de ce même voyage que J.A. Chicoyne alla à l’abbaye de Melleray, non loin de Nantes, afin de proposer au Père abbé d’envoyer le Père Jérôme au Québec pour y implanter un monastère trappiste. Ici il faut dire qu’à cette époque les religieux de France étaient persécutés par le gouvernement français qui menait une politique anticléricale. Le Père Jérôme, originaire de Saint-Jude, près de Saint-Hyacinthe, était menacé d’expulsion à tout moment.

C’est ainsi qu’au mois de novembre 1880, le Père Jérôme, accompagnant J.A. Chicoyne à son retour d’Europe, arriva à La Patrie. Il y acquit quatre lots et y fonda un établissement qu’il nomma Bethléem.

La maison-chapelle de Bethléem, à La Patrie (Collection de la Société
d’histoire de Sherbrooke)

L’année suivante, deux autres Frères vinrent le rejoindre. Mais hélas, l’entreprise n’a pas eu de succès et en avril 1882, le Père Eugène, abbé de Melleray, vient lui-même constater la situation et décida de fermer sur-le-champ le monastère du Père Jérôme. En plus de parrainer le Père Jérôme, J.A. Chicoyne avait reçu une procuration pour agir et gérer, au nom de l’abbaye de Melleray, tout le domaine de Bethléem, c’est donc dire qu’il fut mêlé de près à cette courte aventure trappiste de La Patrie.

En 1882, J.A. Chicoyne fut président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Sherbrooke. Cependant, ses occupations le retinrent à Mégantic et il ne put continuer à participer à cette société.

Durant ce temps, à titre de directeur général de la Compagnie de Colonisation et de Crédit des Cantons de l’Est, J.A. Chicoyne fit construire un moulin à scie, un moulin à farine et un magasin général, tous établis à Mégantic, à la tête du lac, tout près de la voie ferrée, c’est ce qu’on appelait les Moulins Nantais. À Woburn, Channay comme on l’appelait au début, il installa quelques colons français et belges et c’est de là que les opérations forestières étaient faites; par la suite, le bois était acheminé à la scierie de Mégantic.

J.A. Chicoyne ne fut pas un homme d’affaires de haut calibre et les finances de la compagnie n’allèrent pas toujours comme il le souhaitait. De plus, les Français de Nantes, les Bécigneul surtout, qui avaient été envoyés pour aider J.A.Chicoyne, ne furent pas toujours d’accord avec lui et finalement l’accusèrent de frauder la compagnie. Par trois fois, en 1881, 1882 et 1885, J.A. Chicoyne dut se rendre à Nantes, en France, pour se défendre et rétablir les faits. Finalement, en juillet 1885, J.A. Chicoyne démissionna de la compagnie qui fonctionna tant bien que mal jusqu’en 1893, moment où elle a dû déclarer faillite.

Toujours à Mégantic, aux élections municipales de janvier 1886, J.A. Chicoyne fut choisi maire. Il devenait le deuxième maire de Mégantic. Toutefois, il ne le sera pas très longtemps puisque dès le mois d’avril il revint rejoindre sa famille à Sherbrooke, quittant définitivement Mégantic.

Lors de son retour à Sherbrooke, il revint à ses anciennes amours : le journalisme et la politique. C’est ainsi que, du mois de mars 1886 au mois d’avril 1889, il s’occupa du journal Le Pionnier à titre de directeur et de rédacteur. En même temps, il fonda le journal La Colonisation qui était une petite revue subventionnée par Ottawa, destinée à faire connaître le Canada dans les pays européens. Il la dirigea jusqu’en 1896. En 1887-1888, il fit construire une bâtisse de quatre étages, sur la rue Marquette, dans laquelle en plus d’y déménager sa famille, il y installa le journal Le Pionnier qui dorénavant y serait imprimé. On y trouvait aussi le bureau d’affaires de la revue La Colonisation.

La maison Chicoyne, rue Marquette à Sherbrooke. (Source: The Dominion Illustrated, volume V, numéro 113, 30 août 1890, p. 153).

J.A. Chicoyne fut toujours membre du Parti conservateur et, à partir de 1867, il participa activement à toutes les campagnes électorales. Dès son arrivée à Sherbrooke, il prit part à toutes les activités du parti et, de 1879 à 1891, il présida le club Cartier de Sherbrooke, un club politique dévoué au Parti conservateur.

En tant que résidant du quartier du Centre, J.A. Chicoyne se présenta à plusieurs reprises aux élections municipales de Sherbrooke, en tant que conseiller. En 1890, ayant gagné ses élections, il fut choisi maire de Sherbrooke.

J.A. Chicoyne, maire de Sherbrooke (Collection de la Société d’histoire
de Sherbrooke)

Ce fut son premier mandat d’un an. En 1892, de nouveau il fut choisi maire et il compléta son deuxième mandat, aussi d’un an.

Dans l’édition du 13 novembre 1891 du journal Le Pionnier, J.A. Chicoyne rapporta la tradition orale qui entourait l’îlot, ou rocher, de la rivière Saint-François sur lequel on voyait un pin solitaire. C’est lui qui découvrit la source de cette tradition abénaquise et, après bien d’autres recherches, il publia, en août 1897, un long article sur le sujet dans le Bulletin des Recherches Historiques de Lévis. C’est donc à J.A. Chicoyne que nous devons de connaître l’histoire du Rocher au pin solitaire.

Le Pin solitaire (Collection du Musée de la nature et des sciences de
Sherbrooke)

Le 23 décembre 1891, des élections provinciales furent décrétées et le scrutin fut fixé au 8 mars 1892. Le député conservateur du comté de Wolfe, Jacques Picard, qui terminait son mandat et qui ne voulait pas se représenter, dirigea une délégation du comté en vue de solliciter la venue de J.A. Chicoyne comme représentant conservateur dans cette élection provinciale. J.A. Chicoyne accepta de faire le saut en politique provinciale et le 8 mars, il fut élu député du comté de Wolfe. À deux autres reprises, il fut réélu député du comté, le 11 mai 1897 et le 7 décembre 1900. Toutefois, aux élections du 25 novembre 1904, il ne se représenta pas comme député et se retira à Saint-Hyacinthe.

Pendant ses douze années à l’Assemblée nationale, J.A. Chicoyne fut toujours très respecté. On le surnommait Le sage de la Législature. Gaston Deschênes, dans sa biographie pour le Dictionnaire biographique du Canada, dit : C’était un homme cultivé, respecté pour ses opinions, « l’un des cerveaux les plus solidement organisés qu’ait produit la province » selon Omer Héroux. Homme de principes, conservateur d’esprit, allié à des royalistes français de la vieille école, il a néanmoins consacré sa vie à l’étude et à la recherche de solutions aux problèmes socio-économiques de ses compatriotes. Le rôle qu’il a joué dans la promotion de la mutualité et du coopératisme au tournant du siècle devrait lui mériter de figurer parmi les pionniers du mouvement coopératif québécois.

En effet, J.A. Chicoyne fut le premier député à faire adopter un projet de loi concernant les sociétés coopératives, en 1901.

À la fin de sa dernière session au parlement, en juin 1904, J.A. Chicoyne, maintenant âgé de 60 ans, se sentait très fatigué et voulut aller se reposer. Il quitta alors définitivement la politique active. N’ayant plus à résider dans le comté de Wolfe, il quitta Marbleton et déménagea à La Providence, près de Saint-Hyacinthe. Sa fille Émélie, maintenant âgée de 29 ans, qui ne s’était jamais mariée et qui restait toujours avec ses parents, les suivit. Le temps de s’installer, de renouer les contacts avec la parenté et les amis, d’écrire quelques articles pour le journal Le Courrier de Saint-Hyacinthe et les journaux de Montréal, J.A. Chicoyne, en février 1905, fut atteint d’une crise d’apoplexie qui le laissa partiellement paralysé et presque complètement sourd et muet.

C’est grâce à l’aide de sa femme Caroline et de sa fille Émélie qu’il put continuer à écrire les articles qu’il envoyait régulièrement aux journaux. Plusieurs de ses articles furent signés du pseudonyme IGNOTUS.

Comme bien d’autres gens de son époque, et comme il se produit souvent encore aujourd’hui, J.A. Chicoyne, après 35 ans de labeur et un repos bien mérité, n’a pu jouir paisiblement de sa retraite. Il fut constamment emprisonné par sa maladie.

Le 30 septembre 1910, âgé de 66 ans, il décéda chez lui, à La Providence. Le 3 octobre, il fut inhumé au cimetière Notre-Dame, rue Girouard à Saint-Hyacinthe. À l’époque, un gros monument funéraire indiquait l’endroit de la sépulture de J.A. Chicoyne. Aujourd’hui, on ne retrouve qu’une très simple pierre tombale, sur laquelle est écrit « CHICOYNE – BENOÎT ». BENOÎT, pour Yvette Benoît, laquelle fut la fille adoptive d’Émélie Chicoyne, la fille de Jérôme-Adolphe. La femme de J.A. Chicoyne, Caroline Perrault, décéda le 27 décembre 1915, à l’âge de 67 ans et fut inhumée au même cimetière. Sa fille Émélie et madame Yvette Benoît furent, elles aussi, inhumées au même endroit.

Monument funéraire de J.A. Chicoyne et Yvette Benoît (Photo – Denis Beaulieu).

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3 réponses à « Jérôme-Adolphe Chicoyne, vous connaissez ? »

  1. J’ai aimé prendre connaissance de ce texte lequel est très enrichissant pour la connaissance de notre patrimoine immatériel. Merci à Denis Beaulieu lequel comble son départ par ses écrits.

    Aimé par 1 personne

    1. Merci Gilles pour tes commentaires positifs. C’est très apprécié.

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  2. […] – Jérôme-Adolphe Chicoyne, vous connaissez ? (celui que nous vous avons présenté cette […]

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