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D’où viennent nos légendes ?

Ce deuxième article, d’une série de 8 qui rend hommage à Denis Beaulieu, décédé le 12 juin dernier, est l’avant-propos de son livre Légendes estriennes dans lequel il avait rassemblé 82 légendes liées à notre tradition orale régionale. Denis avait publié dans la revue L’Entraide généalogique plusieurs articles qui provenaient de ce livre, qui avait été publié dans sa collection personnelle J’ai souvenance.

Ces légendes ont également fait l’objet de chroniques hebdomadaires dans le quotidien La Tribune entre novembre 2020 et décembre 2021. Au total, cinq de ses bouquins ont fait l’objet de chroniques régulières dans ce journal. De 2010 à 2021, ce sont plus de 325 chroniques hebdomadaires qui ont été publiées dans La Tribune sous sa plume.

Temps de lecture estimé – 15 minutes

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Cet article sur l’origine de nos légendes constitue l’avant-propos de mon livre intitulé : Légendes estriennes, dans lequel j’ai pu rassembler 82 légendes liées à notre tradition orale régionale.

Conte, mythe ou légende ?

Chacun de ces styles littéraires possède certaines caractéristiques qui lui sont propres. Ainsi, le dictionnaire LAROUSSE1 , définit le conte comme « un récit, en général assez court, de faits imaginaires; le mythe comme un récit mettant en scène des êtres surnaturels, des actions imaginaires, des fantasmes collectifs», etc. et la légende « comme une représentation embellie de la vie, des exploits de quelqu’un et qui se conserve dans la mémoire collective, ou un récit à caractère merveilleux, où les faits historiques sont transformés par l’imagination populaire ou un bruit, une rumeur, nés d’une déformation et d’une amplification de faits réels par l’imagination ».

De son côté, le site WIKIPÉDIA2 , spécifie que « la légende diffère du mythe en ce qu’une légende tient de faits réels ; une histoire est racontée puis est transmise par oral d’où les modifications. On peut la définir comme un récit qui mêle le vrai et le faux. Le récit fictif dans les légendes, mythes, contes et fables, est le plus souvent d’origine orale et fait appel au merveilleux. Une légende est fortement liée à un élément clé, ceci est précisé et se concentre sur un lieu, un objet, un personnage, une histoire, etc. Au fil du temps, la légende peut évoluer en mythe pour les sociétés futures, car elle perd en précision et gagne en fantaisie et en amplification et s’oriente vers du mystique ».

François RICARD, dans sa préface au livre La chasse-galerie – Légendes canadiennes d’Honoré Beaugrand, Éditions Fides, Montréal, 1973, écrit : « Or chez les folkloristes, on appelle « légendes » les récits oraux qui se rapportent à un passé où l’on croyait aux jeteux de sorts, aux revenants, aux feux-follets […], et qui prennent la plupart du temps la forme d’un souvenir personnel, ce qui leur donne une apparence de vérité. Autrement dit, le récit légendaire est un conte dont le merveilleux est localisé et le narrateur identifié au protagoniste ».

L’Encyclopédie de L’AGORA, première encyclopédie conçue en fonction d’internet dès 1998, en ligne3, a expliqué que : « Contrairement aux contes qui se déroulent dans le monde de l’imaginaire, les légendes ont un caractère vraisemblable et font le récit d’événements qui auraient pu avoir lieu. Les études sur ce sujet montrent que certains auditeurs ou lecteurs sont tentés d’y souscrire alors que d’autres se montrent sceptiques. Les légendes se trouvent à la limite entre les connaissances factuelles et les croyances, ou l’imaginaire. […] La légende est racontée dans un style qui lui confère un caractère véridique: l’histoire est arrivée à une connaissance, elle s’est déroulée dans un lieu déterminé, etc. […] Les légendes donnent un aperçu de la vision que les conteurs ont du monde. Les chimères comblent les lacunes existant dans le champ des connaissances d’un individu. D’un point de vue stylistique, les légendes ont une forme narrative objective, mais elles sont aussi l’expression des opinions et des valeurs propres au conteur. En outre, du fait que les légendes reflètent la personnalité des divers conteurs qui les transmettent, une même légende peut avoir donné lieu à plusieurs interprétations, et avoir donc acquis plusieurs significations ».

La frontière entre la légende et le conte, surtout le conte merveilleux, n’est pas précise. Luc LACOURCIÈRE, expert en traditions populaires, note dans son Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec, t.1, Montréal, Fides, 1978, que « la plupart des contes du XIXe siècle sont des légendes et l’on peut dire sans se tromper que le XIXe siècle nous a laissé beaucoup de légendes. Les premiers littérateurs canadiens se sont inspirés de la légende et ont rédigé des légendes qu’ils ont appelées des contes ».

En somme, on peut dire qu’une légende a, en quelque part, un fond de vérité, laquelle est exagérée, embellie et transformée par l’imagination du conteur.

D’où viennent nos légendes?

Dans une entrevue avec la journaliste de La Presse, Frédérique Sauvée, publiée le 29 décembre 2012, Serge GAUTHIER, président de la Société d’histoire de Charlevoix et auteur du livre Contes, Légendes et Récits de la région de Charlevoix, disait que « les contes et les légendes du Québec viennent avant tout de nos racines françaises. Les contes, qui sont des histoires fictives, se sont propagés dans nos campagnes par la bouche à oreille. Les légendes, quant à elles, sont basées sur des faits réels et leur narrateur raconte de manière romancée un événement auquel il aurait assisté. Elles sont ensuite partagées et, le plus souvent, exagérées par les conteurs suivants. Le Québec, où la tradition orale a toujours été très présente, est une terre particulièrement fertile en légendes. Elles font partie de notre culture. Transmettre ces histoires traditionnelles permet de préserver notre culture populaire, mise à rude épreuve dans un pays majoritairement anglophone ».

À la question : quels sont les thèmes le plus souvent rencontrés? Serge GAUTHIER ajoutait : « Il y a bien sûr le diable, le plus souvent incarné par un étranger mystérieux qui transgresse les lois religieuses et morales. La religion a une grande importance dans l’explication de faits irrationnels. Les hommes forts sont aussi de grandes figures héroïques dans le Québec agricole; ils courent plus vite que les chevaux, accomplissent des tâches en des temps record. C’est une grande source d’admiration pour les paysans. Les légendes amérindiennes ont eu elles aussi une grande influence sur les nôtres. Enfin, la topographie de lieux particuliers, situés aux abords d’un village ou d’un champ, attise l’imagination des gens».

De son côté, Robert LALONDE, dans l’avant-propos de son livre Contes de la Lièvre, publié aux éditions de L’Aurore, en 1974, vient préciser davantage l’origine de nos légendes :

 « Je voudrais tracer ici un bref historique du conteur, de la tradition orale et de ses multiples ramifications. Aux premiers temps de la colonie, la cognée s’abat sur les arbres; les hommes construisent des forts en bois rond et en pierre. Ces premiers chantiers, le long des cours d’eau, ont sans doute vu naître, tant à Québec qu’aux Trois-Rivières, tant à Ville-Marie qu’en Acadie, des veillées riches en contes et en récits d’aventure.

Et de saison en saison, les coureurs de bois vont et viennent, et animent, après leurs contacts avec les Amérindiens, ces soirées avec leurs histoires et leurs exploits. […] Ils [Ces premiers coureurs de bois] nous ont laissé quelques témoignages, particulièrement sous forme de légendes et de chansons. Dans la correspondance des témoins de l’époque, on trouve aussi de nombreuses précisions sur leurs faits et gestes.

Vint ensuite la période des trappeurs : de 1650 à 1675, quelques hommes s’essaient à la chasse au castor et au vison. Leurs tentatives et leurs efforts doivent s’appuyer sur les recommandations des Amérindiens qui, seuls, connaissent suffisamment ce genre de métier. Les légendes et coutumes amérindiennes auront sans doute, encore ici, une large influence sur les habitudes et le langage de ces trappeurs.

De 1675 à 1860, nous sommes en pleine apogée de la traite des fourrures et de ces voyageurs libres de toute dépendance. C’est la vie joyeuse en forêt, l’ère des libations à l’eau-de-vie, des longues soirées en palabres avec le calumet de paix. La langue de communication est celle des Amérindiens. Le négoce de la fourrure bat son plein avec différentes compagnies qui se disputent les territoires les plus fertiles. Inutile de souligner qu’ici encore les légendes ont libre cours et que l’Amérindien goûte particulièrement ces longues soirées de dialogues. Ces voyageurs à la parlure imagée s’appelaient les « engagés » : ils partaient ainsi, pour le compte des compagnies de fourrure (celles des Cent Associés, du Grand Nord, de la Baie d’Hudson, etc.), chez les Amérindiens pendant une période d’un an environ, selon leur contrat et l’endroit désigné.

La tradition orale suit son cours, se perpétuant ainsi jusqu’à la période des forestiers, de 1808 à 1908. Apparaissent, ici, le bûcheron, le cageux et le draveur. Ces types d’hommes œuvrent à la coupe de bois et se recrutent, surtout, parmi les descendants des coureurs de bois, ces semi-sédentaires et aventureux. Que ce soit le bûcheron qui coupe les billots, le cageux qui les fait passer d’un cours d’eau à l’autre sous forme de cages ou le draveur qui, piaule à la main, les pousse, tous travaillent le long des mêmes cours d’eau fréquentés par les coureurs de bois.

À ce moment, la tradition orale s’affermit, prend de l’ampleur, car les soirées d’hiver dans les chantiers sont longues et dures, et le conteur procure le seul divertissement. Les compagnies de bois n’hésitent pas à offrir à ce dernier un contrat permanent, tant son rôle devient important.

Où le conteur tire-t-il ces légendes dont le répertoire semble inépuisable? Une étude poussée nous permettrait de constater leur origine européenne et amérindienne et que le conteur s’est tout simplement servi de la tradition orale en vigueur à cette époque. Où il allait, ainsi les hommes allaient. Et nous le retrouvons aujourd’hui, avec ses mille et un souvenirs d’une époque pas si lointaine, retraité dans un village quelconque.

De nos jours, dans les chantiers modernes, des hommes témoignent encore de cette tradition orale toujours vivace. La plupart d’entre eux sont constructeurs de chantiers et de routes, camionneurs, pilotes de brousse, prospecteurs et, à l’occasion, trappeurs. On les retrouve sur les barrages, dans les mines, sur les ponts, dans un coin du pays qui se développe comme l’Abitibi, Elliot Lake, la Manicouagan et la Baie James. Pour la paye, ils deviennent gens d’errance, de mouvance; nomades sédentaires qui s’absentent au loin pour un temps indéterminé.

Tels furent ces hommes, tel fut le conteur, un pareil à eux -autres, un nomade qui les suivait partout, qui faisait de menus travaux autour du chantier et qui l’été, était engagé sur les bateaux des Grands-Lacs pour distraire les passagers ».

Dans l’introduction à son livre Contes de mon iglou, le Père Maurice MÉTAYER, o.m.i., missionnaire à Cambridge Bay, Territoires-du-Nord-Ouest, nous décrit, en 1972, de quelle manière la tradition orale se perpétuait chez les Inuits et comment les légendes étaient transmises :

« L’art de conter a dû suivre de très près l’évolution du langage. Dès que nos lointains ancêtres furent capables de comprendre qu’ils avaient un passé et qu’ils devaient le transmettre à leurs enfants, mythes et légendes durent faire leur apparition, concrétisant pour les plus jeunes de la race les expériences physiques ou psychiques des anciens.

Avant que l’écriture ne fût inventée ce fut une transmission purement orale, accompagnée parfois sans doute de gestes rituels qui faisaient revivre symboliquement ce passé. Donner un nom à une chose ou un être, c’est en quelque sorte lui donner existence. Narrer un fait, c’est le faire revivre.

Les légendes de ce recueil ont été reçues de la bouche d’Inuit qui n’ont jamais su écrire. Leurs lèvres ont transmis ce qu’ils avaient entendu, compris et retenu sans l’aide de texte écrit.

Le plus souvent c’était le soir dans l’iglou, durant les longues veillées de l’hiver, que les vieux conteurs transmettaient aux plus jeunes les légendes du passé. La femme avait, de quelques tapes de sa baguette, éteint la plupart des mèches de la lampe de pierre; seules quelques flammèches dansaient encore, sorte de veilleuse. Sous cette clarté indécise la voûte et les murs de l’iglou devenaient des formes imprécises, disparaissaient dans l’espace et dans le temps, mettant chaque être en communion directe avec l’immensité du pays arctique, le lointain de son passé, l’infini de ses océans, de ses terres, de ses montagnes, enveloppés de tempêtes aux forces brutales et mystérieuses et que l’imagination voyait peuplés d’êtres étranges.

Personne ne dormait encore dans l’iglou, mais chacun était à la porte du rêve. À la voix du conteur remontant le fil du temps, le moment présent s’évanouissait comme sous un coup de baguette magique. C’était le lointain passé des ancêtres qui était devenu le réel, et chacun revivait l’épopée des héros et leurs hauts faits. Chacun les comprenait, chacun y croyait, parce qu’ils étaient faits pour lui, à la mesure de ses peurs et de ses espoirs.

L’expert versé dans les sciences mythologiques fera l’analyse structurale du mythe pour en dégager le sens vrai. Mais déjà, au stade de la transmission originelle dans l’iglou, le jeune esquimau pouvait deviner intuitivement que sous le merveilleux récit il y avait une vérité de toujours, une réponse faite pour lui aux questions que les mystères de son univers à lui posaient à son esprit ».

Nos légendes estriennes

Dans le présent document intitulé Légendes estriennes, j’ai tenté de rassembler le plus grand nombre de légendes liées à notre tradition orale régionale.

Ainsi, à partir de 23 sources, aussi diverses les unes des autres : volumes, revues, articles de journaux, sites internet et communications personnelles d’informateurs, j’ai pu colliger un total de 82 légendes en provenance de l’Estrie. De ces 23 sources, les quatre premières nous fournissent, à elles seules, 61 légendes. Ces quatre principales sources sont:

– Le livre de madame Bertha WESTON PRICE : Legends of Our Lakes and Rivers, publié à Lennoxville en 1937, 59 pages. Dans ce livre, madame Price qui est née à Newport (Estrie) et qui a vécu principalement à Sherbrooke, nous présente une vingtaine de textes descriptifs de nos lacs et rivières, auxquels elle rattache de vieilles légendes amérindiennes et anglophones, le tout dans un style très prosaïque. De tous ces récits, j’en ai conservé douze dont je vous présente la traduction que j’en ai faite.

– Le livre intitulé : Légendes des Cantons de l’Est, publié à Sherbrooke en 1977. Ce livre est le résultat d’une recherche qu’un groupe de onze jeunes de Sherbrooke a réalisé à l’intérieur d’un PROJET P.I.L. (Projet d’Initiatives Locales). Ce projet avait pour but de recueillir le plus grand nombre de nos contes et de nos légendes régionales. Je présente ici les quinze légendes que contient ce livre.

– Le livre intitulé : Corpus de faits ethnographiques québécois – Estrie (Cantons de l’Est), publié par l’Université Laval en 1981, 322 pages. Au début des années 1980, sous la direction de Jean-Claude DUPONT, le Centre d’études sur la langue, les arts et les traditions populaires (CELAT), de la Faculté des lettres de l’Université Laval, à Québec, a effectué une étude ethnographique de la région de l’Estrie. Cette recherche touchait l’art populaire, les chansons, les contes, les coutumes et croyances, les danses, les légendes, la médecine populaire et la météorologie. Le compte-rendu de cette étude fut préparé par monsieur Yves LACASSE de l’Université Laval. Ce que nous retrouvons ici, ce sont les pages 245 à 291, soit la partie touchant spécifiquement les 31 légendes répertoriées dans notre région.

– Sur le site internet de la Société du patrimoine de Potton, nous retrouvons dans la bibliothèque virtuelle un livre écrit par Gérard LEDUC et Paul ROUILLARD : Potton d’antan – Yesterdays of Potton – Les débuts d’un canton – The Beginnings of a Township. Ce livre, publié en 1997, relate les principaux faits de l’histoire du canton de Potton et de la municipalité de Mansonville. À la fin du livre, Leduc et Rouillard ajoutent sept pages dans lesquelles nous retrouvons trois légendes qui concernent cette région. Ce sont ces trois légendes que je vous présente dans Légendes estriennes.

La présentation de toutes ces légendes respecte les sources auxquelles elles furent puisées.

Vous constaterez que les origines de nos légendes estriennes diffèrent quelque peu de celles du reste du Québec : elles sont d’abord amérindiennes, puis anglophones et finalement francophones. La région de l’Estrie ayant été une région de passage principalement pour les Abénaquis et les Iroquois, ceux-ci nous ont laissé plusieurs récits de leur tradition orale. D’abord colonisée par des immigrants anglais et américains qui, eux aussi, sont venus avec leur culture et leurs traditions, la région de l’Estrie a conservé l’origine anglaise de plusieurs de nos légendes. De plus, ce sont ces anglophones qui ont recueilli la majeure partie des légendes amérindiennes, qui les ont transcrites à leur manière et qui nous les ont transmises dans des écrits le plus souvent poétiques. Enfin, du fait que plusieurs de nos pionniers francophones soient venus de la région de la Nouvelle-Beauce, nous retrouvons souvent des légendes qui révèlent leur caractère beauceron. À chaque époque de notre histoire, ces conteurs beaucerons ont perpétué la tradition orale et nous ont transmis les légendes du temps.

Il est à remarquer que de ces 82 légendes, 46, soit 56%, nous ont été transmises de façon orale, soit par l’enquête du Projet P.I.L. et par l’étude ethnographique de l’Université Laval. Ainsi, les sujets traités dans ces légendes sont, en général, le diable, les lutins, les feux-follets, les revenants, les sorts, les loups-garous et la mort. Quant aux 36 autres légendes, nous pouvons dire qu’elles nous ont été transmises à l’intérieur de livres, de revues, de journaux et de sites internet. Celles-ci nous racontent généralement des faits, des événements, des personnages qui ont existé ou qui auraient pu exister. À la lecture de ces légendes, nous remarquons immédiatement les deux types de légendes : les légendes orales et les légendes écrites.

Légendes & Mena’sen , la murale du 157, Bowen Nord,
Sherbrooke.

Finalement, la lecture de ces légendes vous ramènera à l’époque de vos grands-parents et arrière-grands-parents, elles vous expliqueront peut-être le pourquoi et le comment de certaines de nos croyances populaires et vous remémoreront certains événements qui se sont déroulés à une époque plus lointaine. Nos légendes sont une fenêtre sur notre passé régional.

  1. https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/
  2. https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9gende
  3. https://agora.qc.ca

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