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Humbles  »filles à marier » à leur arrivée en Nouvelle-France, maintenant reconnues comme Mères de la nation ! – 1ère de 2 parties

Madame Danielle Pinsonneault de la Société d’histoire des Filles du Roy était l’une de nos conférencières invitées cette semaine pour nous offrir une conférence très animée et très appréciée sur le thème des Filles du Roy. Pour ceux et celles qui n’ont pu assister à cette rencontre, Madame Pinsonneault a gentiment accepté de laisser sur L’Entraide numérique un long article qui contient l’essentiel de sa conférence. Nous vous présentons aujourd’hui la première de deux parties. La deuxième et dernière partie sera publiée demain, jeudi.

Temps de lecture estimé – 16 minutes

Plus d’une centaine de personnes ont participé à la conférence sur les Filles du Roy, mardi 26 septembre, à Sherbrooke.

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La Nouvelle-France est en situation précaire 

Depuis la fondation de Québec en 1608, il faut bien admettre que la volonté de la France de défricher et de peupler la nouvelle colonie est passée bien après celle d’évangéliser et de faire du commerce. En dépit de la faible progression de la population, le taux de natalité après 1608 a quand même été de plus 1000 naissances jusqu’en 1663[1]. Mais cette fécondité n’a pu remplacer à elle seule l’envoi d’un nombre important d’immigrants. D’autant plus que si la France est alors le pays d’Europe occidentale le plus peuplé à cette époque, les autorités redoutent son dépeuplement[2] et la Nouvelle-France n’est encore qu’un comptoir de fourrures!

Depuis la venue de Louis Hébert, avec sa femme et ses trois enfants en 1617, la quasi-totalité des personnes recrutées pour la colonie sont des hommes. On avait besoin de maçons, de menuisiers, de charpentiers, de cordonniers, de boulangers, de défricheurs, de navigateurs et de matelots, etc. Parfois, certains faisaient venir la famille quand leur situation était devenue plus stable.

Si la Nouvelle-France compte de 300 à 400 habitants en 1641, la Nouvelle-Angleterre dénombre déjà 50,000 habitants, pour un total de 80,000 en 1663!

La véritable colonisation ne s’amorcera vraiment qu’en 1634, avec l’arrivée, de Mortagne en Perche, de plusieurs familles qui ont répondu à l’invitation de Robert Giffard de venir s’établir dans sa seigneurie de Beauport. D’autres petits convois débarqueront les années suivantes, mais l’émigration restera si faible qu’en 1640, la population totale se chiffrera à environ trois cents (300) personnes seulement[3].

Au cours de cette période 1634-1641 (8 ans), la colonisation, qui relevait alors uniquement de la Compagnie de la Nouvelle-France ou de l’initiative privée, est minimaliste si ce n’est inexistante! L’émigration féminine se fait au compte-gouttes. Toutefois, la fondation de Ville-Marie en 1642 va un peu changer la donne. Peu de femmes accompagnent au début Maisonneuve et Jeanne Mance, mais elles arrivent un peu plus nombreuses à chaque année, après 1649.  Finalement, environ deux cent vingt-huit (228) filles à marier viendront s’établir en Nouvelle-France entre 1634 et 1662![4]

La population française demeure toutefois insuffisante.

Les personnes bien informées s’inquiètent de la viabilité de la colonie en raison de sa maigre population comparée à celle en croissance continuelle des Anglais et des Hollandais venus s’établir plus au sud. Si la Nouvelle-France compte de 300 à 400 habitants en 1641, la Nouvelle-Angleterre dénombre déjà 50,000 habitants, pour un total de 80,000 en 1663!

La guerre incessante entre la France et l’Angleterre en Europe rend les gens très nerveux dans la colonie : on craint l’invasion. 

En France, il s’en trouve encore pour conseiller au roi « d’abandonner le Saint-Laurent »[5] Et les agressions iroquoises continuent de miner le moral des habitants et d’en menacer l’existence.

Que va devenir la Nouvelle-France?

En 1663, on retrouve de 6 à 14 hommes pour une femme, dépendant du lieu. Au total, 2500 personnes dont environ 200 femmes! Comment créer des familles et garder les engagés qui devaient retourner en France après leur contrat de trois ans, s’ils ne trouvaient pas à se marier?

Sans mariage, les hommes n’avaient pas droit à la concession d’une terre à défricher.  Cette promesse d’obtenir une terre en « bois d’boutte » à la suite de son mariage était pourtant alléchante. En effet, elle leur permettait de devenir un « habitant », un titre fort enviable à l’époque, impossible en France pour des gens du commun. Sans compter qu’en Nouvelle-France, ils avaient le droit de pêcher et de chasser sur leur terre, un privilège inaccessible là-bas. De surcroit, à la fin de leur vie, ils pourraient  transmettre leur terre à leurs enfants! C’était le bonheur! Pourtant, un grand nombre d’hommes retournaient en France, faute de pouvoir se marier.

Le roi Louis XIV

En 1661, à l’âge de 23 ans, le roi Louis XIV décide d’assumer personnellement le gouvernement de la France. Le temps pendant lequel sa mère, Anne d’Autriche, le remplaçait à la suite de la mort de son père (il avait alors 6 ans) est terminé. Il entend régner avec une autorité absolue.

Des demandes insistantes étaient venues de la colonie afin d’obtenir l’aide du roi pour le peuplement et la défense de celle-ci. Elles ont été portées avec passion par Pierre Boucher, le jésuite Lejeune, le Sieur de Villeray, Jean Bourdon et bien d’autres. Le roi autorise en 1662 l’envoi de navires chargés de 200 soldats, de familles et de travailleurs et, en octobre, l’envoi de deux vaisseaux de la marine royale.[6] Ces décisions temporaires sont remplacées en 1663 par d’autres qui vont s’avérer autrement essentielles.

Ainsi, pendant onze (11) années, de 1663 jusqu’en 1673 inclusivement, un nombre variable de femmes partiront annuellement pour la Nouvelle-France.  Nous savons maintenant que 764 femmes débarquèrent dans la rade de Québec. Cette décision politique unique de peupler ainsi la colonie a sauvé la Nouvelle-France du naufrage! 

De concert avec Colbert, son ministre des colonies, le roi prend deux décisions capitales pour la Nouvelle-France. D’abord, la création du Conseil Souverain, dotant la colonie d’un fonctionnement égal à celui de toutes les provinces de France. Cela implique que dorénavant, les compagnies marchandes n’auront plus la main haute sur la vie en Nouvelle-France, ni sur son développement. Le roi Louis XIV y veillera personnellement, grâce à trois gouverneurs et un intendant qu’il nommera et qui recevront ses instructions.  Puis, pour résoudre le problème de la pénurie de femmes, il décide de faire partir de France des « filles à marier » avec le mandat de peupler la colonie. Une deuxième période d’émigration féminine voit le jour!

Ainsi, pendant onze (11) années, de 1663 jusqu’en 1673 inclusivement, un nombre variable de femmes partiront annuellement pour la Nouvelle-France.  Nous savons maintenant que 764 femmes débarquèrent dans la rade de Québec. Cette décision politique unique de peupler ainsi la colonie a sauvé la Nouvelle-France du naufrage! 

Dix ans après l’arrivée de ces femmes (1683), la population aura triplé. Au recensement de 1698, elle atteindra 15,355 personnes.  

Les « filles à marier »  

Un recrutement systématique, dirigé par Colbert, fut mené par les émissaires du roi dans les maisons de charité et les hôpitaux généraux de Paris, La Rochelle, Rouen et Dieppe, où logent des femmes jeunes, orphelines ou veuves. Certaines d’entre elles pouvaient aussi venir de familles  » tombées en détresse » ou parfois, de familles ayant voulu  « enfermer » une de leurs filles pour cause de rébellion… Ces maisons fondées depuis 1656 environ étaient sous la gouverne de communautés religieuses et financées par l’état. Elles avaient été créées dans le but de protéger les jeunes femmes abandonnées ou veuves. À la mort de leur mari, les femmes et leurs enfants se retrouvaient à la rue, la plupart du temps. Il n’existait à l’époque aucune forme de sécurité sociale comme nous en connaissons de nos jours. On retrouvait également des lieux ou des ailes spécifiques pour les jeunes enfants, les hommes, les vieillards, ces « asociaux en marge de la société de pauvreté de l’époque »[7]. On voulait les abriter, les nourrir et, si possible, les instruire pour les plus jeunes d’entre eux.

Le recrutement a aussi reçu un coup de main non négligeable de la part des curés des paroisses environnantes. Par exemple, Monsieur de Bretonvilliers, curé de la paroisse Saint-Sulpice, a recruté 46 des 327 filles originaires de Paris. Les curés pouvaient en parler en chaire et même aller rencontrer des familles susceptibles de pouvoir profiter de ce programme d’immigration du roi Louis XIV. Ils connaissaient bien leurs paroissiens. Quand une famille décidait de laisser ainsi partir une de ses filles, le curé  lui rédigeait un certificat de « bonnes moeurs » qui serait exigé avant l’embarquement. On voulait des femmes en santé, fortes et habiles de leurs mains. De ferventes catholiques. Et jolies si possible!

Le roi voulait une « Neufve-France » catholique. Toutefois, un certain nombre de femmes protestantes réussirent quand même à partir sur les navires du roi. Arrivées à destination, si leur croyance était connue, elles devaient se convertir avant de pouvoir se marier, telles Marthe Quitel en 1665 et Catherine Basset en 1667. Même traitement pour les hommes d’ailleurs. Ce fut le cas pour Jean Royer, Daniel Perron dit le Suire et Bernard Faure. D’autres, pensons à Marie Albert, Anne Lépine, Marie Valade, Marie Léonard, Marguerite Ardion, Françoise Ancelin et Elisabeth Doucinet purent vivre sans être dérangées. Même Marie Targer qui eût deux époux protestants. Mais ces personnes n’avaient pas droit de culte et devaient donc agir exactement comme le faisaient les catholiques, pour ne pas éveiller les soupçons.                            

De plus, parmi les femmes choisies par les recruteurs, il y eût bien quelques filles de la petite bourgeoisie ou des filles de notables, mais la grande majorité d’entre elles étaient d’origine modeste, voire pauvre.

Près des deux tiers des femmes étaient orphelines de père, de mère ou des deux parents. La moyenne d’âge était de 24 ans. Les plus jeunes pouvaient avoir 13 ou 14 ans. Elles venaient surtout de l’Ile-de-France et des provinces proches de Paris, vivant surtout dans les cités, puis des provinces de l’Ouest de la France (Aunis, Saintonge, Poitou et Touraine). Celles qui venaient de la campagne, venaient principalement de la Normandie.

Malgré le débat toujours en cours, l’état actuel des connaissances nous fait croire que la grande majorité d’entre elles ont librement choisi de partir vers la Nouvelle-France. Elles n’avaient pas grand-chose à perdre.

Il faut aussi savoir que « quelques-unes venaient même d’outre-frontière,  d’Allemagne, Marie Vanzègue en 1673, de l’Angleterre, Catherine de Lalore en 1671, de Belgique, Marie-Anne Bamont en 1673, du Portugal, Espérance Du Rosaire en 1668, de la Suisse, Barbe Duchesne en 1671»[8]. Il en demeure encore aujourd’hui plus d’une cinquantaine dont nous ignorons l’origine.

Malgré le débat toujours en cours, l’état actuel des connaissances nous fait croire que la grande majorité d’entre elles ont librement choisi de partir vers la Nouvelle-France. Elles n’avaient pas grand-chose à perdre. Les orphelines, sans espoir de dot pour se marier, n’avaient pour seul avenir que de devenir servantes ou brodeuses réputées travaillant pour de riches dames. Celles qui avaient encore leurs parents, mais qui vivaient dans la misère, sans espoir de vie meilleure, ne voyaient aucune autre issue. Le programme du roi leur offrait la possibilité de se marier, même de choisir leur mari, de recevoir une dot au moment du mariage, le paiement des frais de passage sur le navire, l’accueil en arrivant là-bas et l’aide royale pour l’établissement du couple après le mariage. Plus encore, la chance inouïe de se voir concéder une terre à son mariage.

Quand une fille rencontrait les exigences des recruteurs, elle partait donc  le coeur plein d’espoir. Elle n’avait peur ni du travail, ni de la vie exigeante qu’on lui laissait entrevoir!  Ces jeunes filles étaient des femmes d’honneur, des femmes courageuses et vaillantes.

Elles étaient venues pour se marier, pour faire des familles, pour travailler aux soins des malades ou enseigner aux enfants amérindiens et français. Il fallait un cran du tonnerre pour oser une telle aventure, surtout à Montréal quand on connaissait l’éloignement de Ville-Marie et l’acharnement des Iroquois sur la colonie naissante. Il fallait avoir la foi, mais sûrement aussi un tempérament des plus énergiques et le coeur intrépide.

Nous savons bien peu de ces femmes hors du commun, les toutes premières venues de France avant 1663. Qui connaît leur vie et l’apport inouï qu’elles ont fourni à leur pays d’adoption?

La plupart se sont mariées, ont donné vie à de nombreux enfants, certaines sont mortes jeunes, d’autres n’ont pas pu concevoir d’enfant, mais il est irréfutable qu’elles ont vécu une vie extrêmement difficile, remplie de privations et d’angoisses. Certaines ont connu les attaques sournoises des Iroquois, tuant leur mari au champ ou même toute la maisonnée. Elles ont souvent manqué de l’essentiel. Elles retroussaient leurs manches et croyaient toujours à un demain plus ensoleillé. Elles préfigurent sans aucun doute la force de caractère de celles qui suivront après 1663 et qu’on appelle les Filles du Roy.

Une réputation malveillante

Les rumeurs sur leur respectabilité n’ont pas attendues. Elles seraient nées en France. D’une part, la France étant très hiérarchisée et donc portée à regarder de haut et à juger promptement les personnes des classes inférieures, la bourgeoisie du temps n’avait aucune affinité particulière pour elles, étant donné la basse extraction sociale de la plupart. D’un autre côté, à partir de 1684, Louis XIV consentira à envoyer aux Antilles des femmes débauchées ou marquées au fer rouge. Cette décision du roi a certainement semé bien des confusions et a pu engendrer la méprise. On disait qu’elles étaient envoyées en Amérique… Quelle Amérique? Peu de personnes connaissaient alors la différence entre la Nouvelle-France et les îles françaises des Antilles.

Les rumeurs sont devenues des inepties bien ancrées. Même si l’envoi de « filles à marier » en Nouvelle-France s’est terminé en 1673, les infamies et les accusations gratuites ont continué, malgré les mises au point de personnes qui les ont connues et côtoyées. Ainsi, Pierre Boucher, puis, les auteurs des Relations des Jésuites, l’intendant Talon, Marie de l’Incarnation, Monseigneur de Laval, les autorités ecclésiastiques de la Nouvelle-France et plusieurs historiens québécois dont Gustave Lanctôt en 1952 et Silvio Dumas en 1972, ont vertement dénoncé ces grossièretés. Et combien d’autres plus récemment! Peine perdue!

Ce sera la fécondité incroyable des « Filles du Roy » qui balaiera les dernières résistances. En effet, les connaissances médicales actuelles nous apprennent que si ces femmes avaient été des « filles publiques », elles auraient été atteintes de maladies vénériennes qui rendaient les femmes stériles. Les antibiotiques n’étant pas encore connus à l’époque, on ne pouvait les guérir. En mettant au monde 9, 12, 14 enfants ou plus, les filles du Roy ont ainsi prouvé qu’elles étaient « des femmes saines »[9]

De plus, nous savons qu’en France, dès que les filles choisissent de partir, elles sont chaperonnées et ce, jusqu’au mariage, par des officières des communautés religieuses, des « dames sages et de qualité » ou des personnes mandatées pour leur protection. Les déplacements vers les lieux d’embarquement se feront le plus souvent en contingent, à pied ou en charrette sur la route, ou bien en utilisant des gabarres sur les cours d’eau de l’intérieur. L’attente, parfois bien longue, pour que se lève enfin le bon vent permettant le grand départ, sera « subie » chez des communautés religieuses.

 Filles à marier ou Filles du Roy?  

Ces femmes qui sont venues à la demande du Roi Louis XIV portaient le surnom de « filles à marier ». Comme celles venues avant ou après elles d’ailleurs. A l’exclusion de celles voulant officiellement consacrer leur vie à Dieu ou officieusement comme Jeanne Mance.  Toutefois, l’appellation « Filles du Roy », accolée à celles venues de 1663 à 1673, serait le fait de Marguerite Bourgeoys qui l’aurait employée pour la première fois dans ses écrits vers 1698. Elle avait pour son dire que les bénéfices que le roi leur avait donnés montraient que celui-ci avait agi comme un père avec elles. Ce surnom était aussi semblable à celui que l’on donnait aux enfants ou aux orphelins élevés aux frais du roi. L’histoire a retenu ce surnom jusqu’à aujourd’hui. Il est vrai que l’arrivée de ces 764 femmes, venues par décision politique du roi Louis XIV, mérite peut-être que ces femmes aient un surnom distinctif…

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La suite de cet article de Madame Danielle Pinsonneault vous sera présentée demain, jeudi.


[1]   Lacoursière, Provencher, Vaugeois, Canada-Québec 1534-2000, Septentrion, 2001,p.61

[2]   Source : Sous la direction de Yves Landry, Pour le Christ et pour le roi La vie au temps des premiers montréalais, Éditions Libre Expression, 1992, Chapitre 3, Yves Landry, p. 78

[3]   Source : Gustave Lanctôt, Filles de joie ou Filles de roi, Étude sur l’émigration féminine en Nouvelle-France, Les Éditions du jour, Montréal, 1964

[4]   Source : Gustave Lanctôt, Filles de joie ou Filles de roi, Étude sur l’émigration féminine en Nouvelle-France, Les Éditions du jour, Montréal, 1964; R. Le Moine, Première immigration française au Québec, in La découverte de l’Amérique, Paris, 1968, Librairie philosophique JVrin, p. 144-146.

[5]   Lapointe Camille, Chassé Béatrice, de Carufel Hélène, Aux origines de la vie québécoise, Les Publications du Québec, Collection Patrimoines, série Dossiers, 1995, p.36

[6]   Gagnon Louis, Louis XIV et le Canada 1658-1674, Septentrion, 2011, Ch.2

[7]   Gagnon Louis, Louis XIV et le Canada 1658-1674, Septentrion, 2011, Supplément d’histoire, pp.165-183

[8]   Belleau Irène, Les Filles du Roy, Coffret souvenir 1663-2013 Hommage aux Mères de la Nation, SHFR, 2015

[9]   Landry Yves, Les Filles du Roy au XVIIe siècle, BQ, 2013, p.23

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